La chaine Paris première propose dans l'émission "PARIS D'AILLEURS" de se pencher sur le Thème du Japon à Paris, vous y trouverez toutes les adresses de boutiques de vêtements, d'accessoires, de restaurants, d'éditeurs de mangas, des jardins japonais etc
l'émission est rediffusée les:
. dimanche 07 janvier à 11h10
. mardi 09 janvier à 06h55
. vendredi 12 janvier à 07h35
Retrouvez un petit avant gout de l émission avec extraits, gallerie photos... sur ce lien :
http://www.paris-premiere.fr/cms/display.jsp?id=p2_471635et maintenant :
ARTE
Dimanche 14 janvier 2007 à 10:40
Cinéma de notre temps : portrait de l'imprévisible Takeshi Kitano
(France, 1998, 68mn)
Réalisateur: Jean-Pierre Limosin (NDLR : Réalisateur de Tokyo Eyes)
En 1999, Jean-Pierre Limosin s'est entretenu pendant plusieurs mois avec Takeshi Kitano alors que ce dernier terminait son film L'été de Kikujiro. Réalisateur, entre autres, de Hana-Bi (1997), Dolls (2002), Zatoichi (2003) et dernièrement de Takeshis', Kitano dévoile ici son art de l'imprévisibilité, notamment lors d'une conversation avec le philosophe et essayiste Shiguehiko Hasumi.
/!\ Pas de rediffusion
Mercredi 17 janvier 2007 à 02:25
Jardins d'artistes : Les jardins zen de Shunmyo Masuno
(Allemagne, 2003, 26mn)
Réalisateur: Christoph Schuch
L'oeuvre du plus grand architecte paysagiste japonais de notre époque, Shunmyo Masuno.
Dans la famille de Shunmyo Masuno, on est prêtre zen de génération en génération, lui-même étant le dernier de sa lignée à s'adonner aux arts du jardin. Pour Masuno, les jardins modernes doivent être des oasis de calme, propices à la méditation, dans lesquelles les citadins peuvent échapper à la vie trépidante des grandes villes. Il a réalisé ses plus belles créations au coeur des métropoles de Tokyo et Yokohama. Aux yeux de Masuno, la disposition des pierres tient une place essentielle dans l'aménagement d'un jardin. La caméra s'attarde notamment sur le "jardin des montagnes bleues et des eaux vertes" de l'hôtel Kochimachi-Kaikan, situé dans le quartier des ambassades de Tokyo.
/!\ Pas de rediffusion
Vendredi 19 janvier 2007 à 00:45
The glamorous life of Sachiko Hanai
(Japon, 2004, 90mn, VOSTF)
Réalisateur: Mitsuru Meike
Avec: Emi Kuroda, Takeshi Ito, Yukijiro Hotaru, Kyoko Hayami , Tetsuaki Matsue
Une comédie érotique combinant fantastique, fable politique, film de yakuzas et montages absurdes, signée par un jeune réalisateur japonais à suivre. Un film accident dans l'univers morose du cinéma rose.
Dans un bar, Sachiko Hanai, prostituée et nymphomane, assiste à un échange de coups de feu entre deux yakuzas. La jeune femme tente de photographier la scène avec son téléphone portable, mais elle reçoit une balle perdue. Cette balle, au lieu de la tuer, lui laisse juste une alvéole au milieu du front. Quelque peu désarçonnée, Sachiko se retrouve dans la rue. Elle ne se doute pas que, dans le bar, au moment de partir, elle a confondu son tube de rouge à lèvres avec un mystérieux cylindre en métal. Celui-ci contient un clone du doigt de George W. Bush, recherché par des espions nord-coréens dans le but de déclencher une guerre...
/!\ Pas de rediffusion
INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Pinky comédie
Le pinku-eiga (cinéma rose) a connu son heure de gloire au Japon à la fin des années 60. Ce genre fut un filon fructueux pour des maisons de production qui additionnaient les pertes avec des films plus classiques. Avec le temps, l'industrie du X étant passée par là, le pinku-eiga a énormément décliné. Avec cette comédie érotique tournée entre 2003 et 2004, Mitsuru Meike fait donc figure d'esthète anachronique. Il a suivi à la lettre les règles du pinku-eiga : interdiction de montrer les parties pileuses, ce qui n'empêche en rien les scènes de violence, de sadisme, etc. En 2003, il commence par réaliser un moyen métrage, Horny home tutor : teachers love juice (Hatsujô kateikyôshi : sensei no aijiru), essai anarchique et excitant qui remporte un succès d'estime dans les festivals de films bizarres. En 2004, Mitsuru Meike ajoute à ce premier opus une trentaine de minutes de délire supplémentaires. Jouant avec les ficelles du genre, il conjugue fantastique et érotisme sur un mode gratuit, provocateur et original. Point culminant du film : la scène où le clone du doigt de George W. Bush, dont l'ongle est peint aux couleurs du drapeau américain, glisse des mains de la belle Sachiko...